16 Si le sacrifice de communion est offert pour accomplir un vœu ou comme don volontaire, une partie de la viande de la victime sera mangée le jour où on l’offre, mais le reste pourra être mangé le lendemain. 17 Ce qui restera de la viande du sacrifice le surlendemain sera brûlé. 18 Si l’on en mange le surlendemain, celui qui a offert le sacrifice ne sera pas agréé, son sacrifice ne compte pas. Car cette viande est devenue impure, et celui qui en mange se rend coupable d’une faute.

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